• C'est pas plus simple de crier: "A TABLE !!!" ?

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    27 février 2016 © Loqman

    Gérard Fromanger.


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  • Interdit d’attacher son chien avec une laisse ?

    Interdit d’avoir son chien en laisse et de jouer avec une balle en même temps ?

    Interdit... A vous ...

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    08 mars 2016 © Loqman

    Les interdits


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  • Au poteau !

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    17 mars 2016 © Loqman

    S’Ombrer


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  •           Hier, le 17, c’était la St Patrick. Comme chaque année, ce fut l’occasion de partager quelques bonnes bières avec des amis Irlandais…
               Les bonnes bières sont conditionnées dans des bouteilles en verre, fermées par des capsules métalliques recouvertes d’un petit papier d’alu appelé « Collerette »  

              Je ne sais plus très bien ce qui s’est passé hier soir, mais ce matin au réveil, je trouve que les collerettes ne sont plus ce quelles étaient autrefois. Par contre les potes Irlandais... toujours aussi facétieux !  

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    17 mars 2016 © Loqman

    Les Lendemains de la St Patrick…


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  • Sage Interdit

    Voir ça, juste devant le Conseil d’État …

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    13 mars 2016 © Loqman

    Les Interdits...

    Les Interdits...

     


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  • Je ne comprends pas comment cette tache jaune peut apparaitre sur le dos du personnage ?
    Il devrait être tout noir, non ?

    C’est sans doute ça : « Avoir un ticket »

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    14 mars 2016 19:00 rue Marx Dormoy Paris 75018 © Loqman

    Paris Poubelle Ville (Olympique ?) du Monde


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  • M…

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    13 mars 2016 © Loqman

    S'Ombrer


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    06 mars 2016 © Loqman

    La robe du vent.


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  • Beurkkkk !

    Je suis un touriste...
    Je viens de faire 8 000 Km pour venir visiter Paris.
    Arrivé à Roissy j’ai pris un taxi pour rejoindre Paris, la capitale de la France.
    Nous empruntons l'Autoroute A1 LINK … à moi la ville lumière…
    A moi Paris, ville Olympique...

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     février 2016 © Loqman

    Marions-les.
    "La force d'un rêve" ???

    C’est la fin de l’autoroute, mon taxi est arrêté au feu rouge de la porte de la Chapelle, je jette un coup d’œil par la portière... oh 

    © Loqman

    Marions-les.

    - Taxi ! Demi-tour, je retourne chez moi.

     

    Les immondices que l’on voit sur les photos sont sous la responsabilité de la Direction Interdépartementale des Routes Nord LINK.

    Laquelle direction est un service déconcentré du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie… LINK 


    Je vous laisse savourez le piquant des responsabilités royale(s) de l’une et autres juridictions, ainsi que le rapport guilleret de mes photos avec les mots porteurs de valeur des officines publiques responsables...  "Ecologie" , "Développement Durable", "Energie" (pour passer le balais sans doute)

    © Loqman 

    Marions-les.

    "La Force d'un Rêve" !!!

    Ça, pour rêver, on rêve. On rêve de ne plus nourrir grassement les parasites !
    Je parle des rats bien entendu, pas de notre élite dirigeante bad

    Un grand coup de chapeau au service dé con centré  beurk
    Le grand prix du balais à chiottes d'or lui est attribué pour 2016

    "Que la force du balais à chiotte soit avec toi, Service déconcentré!"

    Marions-les. 
    Image prise sur le net


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  • Toutes photos du 06 mars 2016 © Loqman
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    La station Trinité d’Estienne d’Orves fait peau neuve. Elle se dépouille de l’habillage en tôle posé dans les années 60, qui masquait ses murs faïencés.

    Des avis, des rappels au règlement, des réclames réapparaissent au grand jour.

     

    Le métro. 

                     Alors je remonte le temps, je prends le métro pour la station « Souvenirs d’enfance »  

                     Je retrouve l'odeur sèche de poussières métalliques du métro, en ce temps là il ne sentait pas la pisse ni les frittes de Mc Do. Je revois les paillettes de silex sur les marches des escaliers pour les rendre antidérapantes, qui brillaient comme des étoiles les jours de pluie. Je reconnais le poinçonneur à la mine triste assis dans sa drôle de petite boîte, il faisait un petit trou dans le billet que je lui tendais fièrement. "Ne le perd surtout pas" me disait ma mère.

    Le métro.

                Comme je rêvais d’avoir la casquette et la pince à faire "des p’tits trous" du poinçonneur.   S’il m’avait donné sa pince, j’aurai bien fait des trous dans les marches des escaliers du métro pour voir ce qui se cachait derrière les étoiles des jours mouillés.

    Le métro.

               L’attente du train sur le quai était souvent distraite par une barre de chocolat "Cémoi" tirée d'un distributeur en échange d'une piécette. Elle était enveloppée dans une image représentant un animal. Je sautais dans la fourrure de l’ours, je chevauchais les girafes, l’éléphant me faisait un peu peur... Mes animaux préférés étaient les lions, les tigres et surtout la panthère noire qui me rappelait tant mon chat noir qui m’attendait sagement à la maison, lui le gardien de mes secrets.

    Le métro.

                    Enfin arrivait dans un grand bruit vert et rouge le métro. Le conducteur impassible derrière sa vitre ressemblait à mon petit pantin en bois. (Pinocchio ?)

                  Les portes s’ouvraient avec un chuintement profond, on m’apprenait à me ranger sur le bord du quai, à l’écart des portes pour que les voyageurs puissent descendre aisément, puis nous montions dans le wagon. Le meilleur wagon était celui de tête, là je pouvais observer le Monsieur qui fermait les portes. Il se tenait à la première porte juste derrière le conducteur, il la gardait ouverte, puis, il se penchait dehors pour voir si tout le monde était bien monté. Enfin, il appuyait sur un bouton.
    Un autre chuintement et toutes les portes se refermaient avec le claquement sec des loquets d’ouverture qui retombaient dans leurs logements métalliques. Alors seulement il fermait sa porte à lui et le métro s’ébranlait au bruit d’un timbre sonore. Ding !... Des fois, le métro était déjà engagé dans le tunnel avant qu’il ne referme sa porte. Il existait des hommes téméraires en ce temps là !

    Le métro.

                Nous étions assis sur des banquettes en bois. Il y en avait de deux sortes: Celles formées par des petites tasseaux parallèles comme les bancs publics dans les jardins et d’autres toutes lisses, toutes brillantes. C’était des toboggans magnifiques, mais il m’était interdit d’y glisser. Une petite gesticulation discrète sur les fesses me permettait de mesurer ce de quoi on me privait.  Les tunnels noirs étaient ponctués de petites ampoules qui donnaient des halos jaunes en guirlandes, des affiches posées à intervalle régulier vantaient une marque d’apéritif : « Dubo – Dobon – Dubonnet » Je m’amusais à les compter.

    Le métro.

                 Il arrivait qu’on me dise : « Laisse ta place à la dame » et là, je devais me lever. Je détestais cela, car inévitablement on allait me parler: "Comme il est bien élevé, madame. Quel âge as-tu mon petit ?" "Il est timide, répondait ma mère ! Allons, répond quand on te parle…" Le pire était les dames qui insistaient pour me faire parler: "Quel est ton prénom mon enfant ? ..." Il est arrivé que face à mon mutisme j'ai eu droit à une caresse sur la joue de la part d'une dame. L’horreur ! D’un revers de main, j’ai essuyé ma joue et détourné la tête. Ma mère s'est confondue en excuses et la dame a révisé son jugement sur la jeunesse et l'avenir de la France. "De la graine de bagnard tout ça, j'vous l'dit !!!"

    Le métro de mon enfance.

                Moi, je voulais seulement glisser sur la banquette et disparaître dans le tunnel pour compter mes petits bonhommes Dubonnet. Cette réclame marchait par trois. Une affiche pour Dubo, le bonhomme tendait son verre, seul son bras et sa tête étaient noir. La seconde affiche disait Dubon: Le petit personnage buvait son verre et il était noir jusqu’à la taille. Dernière affiche: Dubonnet, le bonhomme finissait de vider la bouteille dans son verre et il était tout noir.

    Ligues anti-quelque chose, qui veulent nous mouler à votre louche vision du libre arbitre où étiez-vous ?

    Le métro.

                  Mais bientôt la station suivante arrivait et on oubliait de me torturer pour me recommander de me mettre dans un coin afin ne pas gêner, de me tenir à la barre... Le ballet des voyageurs, les affiches colorées des réclames sur les murs blancs, tout cela me faisait oublier mes tracas...

    Le métro.

                     Le bas des pages de journaux traînaient à la hauteur de ma tête,  j'emplissaient mon nez de l’odeur grasse des encres. Un vrai régal ! Il arrivait de temps en temps, que j’ai le plaisir d’entendre le métro faire un bruit bien particulier avant de reprendre sa route. J'adorais ce bruit. C’était une espèce de renâclement, un enrouement, comme s’il avait un chat dans sa gorge de métro. Plus tard, j’ai compris que c’était le bruit des compresseurs pour l’air comprimé destiné à actionner les portes et une partie de mon enfance s'est envolée poussée par de l'air con primé.   

                  Le soir, dans le coton de la nuit, lové entre les pattes de mon chat-panthère noire, je lui racontais mes aventures souterraines de métro... Comment le poinçonneur m'avait donné sa pince, comment j'avais fait des p'tits trous dans la dame et comment je l'avait enfermée dans les oubliettes de mon château...

    Il aimait bien çà, il ronronnait…

    Le métro.

    Tous les personnages de ce conte sont imaginaires sauf le chat-panthère noire et la pince à poinçonner 


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