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Les p’tites femmes...
De son vivant, Henri de Toulouse-Lautrec aimait beaucoup les femmes.
Cette déchirure qui juxtapose un des personnages de son tableau: "Au Moulin Rouge" et une publicité des Folies Bergère pour sa revue de l'été "Ohlala", ne manque pas de sel.
Le comte Henri doit en être tout agité dans sa tombe.
Images cliquables
15 juillet 2016 © Loqman
Henri de Toulouse-Lautrec, Au Moulin Rouge
1892 – 1895, huile sur toile (123 x 141 cm)
Art Institute of ChicagoToulouse-Lautrec s'est représenté sur cette toile: il est le troisième des quatre personnages qui s'alignent à partir de l'homme barbu. Le quatrième à son coté, est le cousin du peintre, Gabriel Tapié de Celeyran. La Goulue au fond arrange sa chevelure, la fille rousse assise de dos est sans doute Jane Avril, lui faisant face: La Maracona. Au tout premier plan, en partie coupée, May Milton.
J'ai toujours lu cette oeuvre comme étant derrière un miroir sans tain. C'est ma théorie, je n'ai rien trouvé dans mes lectures qui me conforte dans cette idée.
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Commentaires
hello
hé oui un sacré coureur le Lautrec et pourtant la nature ne l'avait pas gâté ;) mais le physique n'est pas tout :)
un grand artiste..je l'entends gigoter dans sa tombe en râlant ;)bises **
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Dimanche 17 Juillet 2016 à 16:22
On dit que sa gentillesse naturelle lui ouvrait les portes (et les bras) de ces dames qui n'étaient pas tant habituées à la douceur de la part de leur clientèle. Son aisance matérielle devait aussi être une bonne carte de visite.
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Je ne suis jamais douée pour repérer l'astuce qu'il peut y avoir dans la superposition d'affiches et leur arrachage. Mais toi, tu excelles !
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Dimanche 17 Juillet 2016 à 16:28
En fait c'est un exercice que je pratique depuis l'enfance. Je tente toujours de faire raconter aux choses, aux objets des histoires...
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ça doit être quelqu'un(e) comme toi,qui surveille les affichages et qui a fait l'coup
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Dimanche 17 Juillet 2016 à 16:38
Je sais qui c'est: Il s'agit de SDF qui crèchent dans la station de métro Lamarck Caulaincout.
Vu l'état dans lequel ils sont le plus souvent, je doute que leurs déchirures soient préméditées, ils se servent en papier pour s'isoler du sol et dormir.
Mais il y a toujours le doute, ce hasard est tellement extraordinaire ? La main de Toulouse-Lautrec hante t-elle le métro Lamarck ? Je me ferai bien une tournée des bistro du quartier en sa compagnie...
A la tienne Henri.
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Dimanche 17 Juillet 2016 à 17:41
en tout cas,c'est pas la main du masseur
pis les sdf ne sont pas systématiquement des incultes
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Bien vu!
Bon w-end, bises de Mireille du Sablon
Merci.
Bise